PSYCHOLOGIE
Dans ma pratique actuelle, la psychothérapie m’aide à accompagner les personnes qui souffrent de Troubles de la Conduite Alimentaire (TCA) en me focalisant sur: le comportement alimentaire, la restriction cognitive, les processus cognitifs, le rapport à soi (confiance en soi, estime de soi, connaissance de soi, les émotions, les besoins, les valeurs,…) et aux autres (son entourage, la société,…).
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La perte de contact avec son corps
La restriction cognitive induit une perte de contact avec son corps, et donc avec ses sensations alimentaires (la faim, l’envie, la satiété, le rassasiement), ce qui empêche le corps de se réguler naturellement (comme il le fait avec la température de notre corps par exemple).
Quand nous sommes systématiquement en dialogue avec notre tête, il est très difficile d’être dans son corps, de le ressentir.
ACT: la thérapie d'Acceptation et d'engagements
C’est une approche cognitivo-comportementale avec laquelle j’aime beaucoup travailler, qui se trouve être flexible et adaptative, et qui utilise notamment des outils de pleine conscience.
C’est une thérapie à travers laquelle nous recherchons un changement (définit par vous, avec de l’aide au besoin), et nous travaillons des compétences à développer afin de pouvoir y accéder.
Plus qu’une psychothérapie, l’ACT propose une nouvelle vision de la psychothérapie et est elle-même le résultat d’un assemblage de plusieurs approches très différentes les unes des autres (thérapie cognitive, existentialiste et psychanalyse).
Pour résumer: elle propose de développer des capacités pour être en capacité d’accueillir ce qui est source de souffrance (plutôt que de l’éviter à tout prix), dans le but de pouvoir s’engager vers ce qui compte réellement pour soi, ce qui enrichie nos vies.
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L'approche bio-psycho-sensorielle
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consultations psy
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fannie aliphat
votre psychologue
Du plus loin qu’il me revienne, j’ai toujours souhaité accompagner les personnes en souffrance avec leur corps, leur alimentation, leurs émotions. Ayant moi même vécu cette souffrance, c’était une évidence.
Je vous accueille sur rendez-vous au cabinet à Bordeaux ou en consultation visio.
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Informations & FaQ
C’est un trouble complexe et multifactoriel qui induit une souffrance dans la relation à son corps, à son assiette, à soi et aux autres.
Souvent, le corps est un lieu d’insécurité sur lequel repose toute l’estime de soi de la personne. Il est perçu comme un ennemi et est associé a de la souffrance.
Il en existe plusieurs type: hyperphagie boulimique, boulimie, anorexie, orthorexie et “non spécifiés”.
Elle se définit par une intention de contrôler son alimentation par le mental, avec des règles plus ou moins rigides, dans le but de perdre ou de ne pas prendre de poids.
Les études actuelles montrent qu’elle est un acteur important dans la chronicité des TCA.
Le set point, c’est la valeur d’équilibre du poids, choisi par le corps. On ne sait pas où il se trouve, contrairement aux autres valeurs consigne du corps (comme notre température corporelle), et aucun instrument n’est en capacité de le mesurer.
Il est définit par un nombre de cellules graisseuses: les adipocytes. Le set point ne peut évoluer que vers le haut, au fil du temps: il ne pourra jamais redescendre.
Je m’explique: lors d’une variation de poids, nos cellules graisseuses sont capables d’élasticité, c’est à dire qu’elle peuvent s’agrandir afin d’accueillir le surplus énergétique, puis rétrécir une fois le corps régulé. Mais leur élasticité a des limites, et lors d’une prise de poids importante, il est possible que ces cellules graisseuses n’ai plus suffisamment de place pour contenir, alors elles se multiplient. C’est ce que l’on appelle l’hyperplasie, et c’est irreversible. Le set point a alors augmenté, la valeur consigne n’est plus la même.
Chez certaines personnes ayant subit un nombre de régimes restrictifs incalculables, avec des pertes importantes et des reprises de poids fulgurantes (et souvent au supérieur au poids avant régime), le set point n’a fait qu’évoluer.
Prescrire un régime restrictif, dans ces situations là (malheureusement très courantes), c’est prescrire le problème, le chroniciser et prendre le risque de voir le set point continuer d’évoluer.
Mon job à moi? Vous aider à (re)trouver ce fameux set point grâçe à votre propre corps, en se débarrassant des règles restrictives alimentaires (la restriction cognitive). Le tout, en développant un rapport serein avec votre corps et votre assiette (sisi, c’est possible 😉 )
Consultation de psychologie (en visio ou au cabinet) : 70 euros
Programme sur le comportement alimentaire – en groupe (forfait 10 séances x 1h30) : 300 €
Disons que la réponse se trouve dans la question: à mon sens, dès l’instant où vous ressentez une souffrance avec votre corps ou votre alimentation, vous êtes légitime de vous offrir de l’aide.
Peut importe que ce soit un trouble identifié et reconnu, ou non !
Pour prendre rendez vous, peut importe le motif, c’est par ici !